Joie et bonheur
Week-end à Paris très agréable, surtout pour les à cotés les soirs et la journée du lundi. M'enfin le reste était intéressant et constructif.
Le dernier Ozon, vu samedi soir, est éprouvant, mais formidable.
J'ai déménagé (encore!...) mercredi. Hopefully, it'll last a little.
Jouer au chat et à la souris m'ennuie. Ce soir, je mets fin au jeu entammé il y a deux semaines.
Nouvelle crise associative par ailleurs. Une de trop. Et une de celles qui ne se règlera pas sans dégats. Les dés sont jetés. La semaine à venir va être ultra éprouvante et le week-end prochain un enfer. Et après... Un vrai départ ou la fin de la route ? Moi, je n'ai pas envie de m'arrêter en chemin.
Pourquoi je me souviens à nouveau que tu es un type formidable, brillant et passionnant à chaque fois que je te vois ? C'est-à-dire, pourquoi faut-il systématiquement qu'entre temps tu le fasse virtuellement oublier ? Travailler à tes cotés était pourtant une des choses que j'envisageais avec le plus d'enthousiasme. Il eut fallu que travailler à tes cotés ne soit pas impossible.
Un regard vers l'arrière, et je m'en veux de t'avoir trop défendu, car j'ai peut-être éteint d'autres possibles.
Non, décidément, je ne suis pas fait pour les guerres de tranchées.